JRS France

Réfugiés : études universitaires ?

Anne Ziegler travaille à JRS Syrie où elle coordonne le projet JC:HEM à Alep et où elle est ssistante du Directeur du Projet JRS St Vartan.           En septembre 2010, le JRS International a lancé un projet-pilote d’études universitaires à distance pour les réfugiés. En effet, si les réfugiés ont droit à une éducation primaire et ont souvent accès à une éducation secondaire dans leurs pays d’accueil, les perspectives s’arrêtent généralement là.

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Europe : et les réfugiés en Afrique du Nord ?

17 juin 2011 JRS Europe a exprimé son désappointement concernant l’échec des Etats de l’UE à protéger les réfugiés, en particulier Subsahariens, en Afrique du Nord.

Malgré l’appel lancé par neuf ONG internationales au président du Conseil Européen le 17 juin, aucun des Etats de l’UE n’a offert d’accroître le quota de réinstallation pour les réfugiés d’Afrique du Nord, ni d’adopter d’autres mesures pour venir en aide aux réfugiés qui essayent de fuir le conflit. Les ONG avaient fait appel aux

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Les réfugiés sans protection en Ukraine

Les relations entre l’UE et l’Ukraine laissent les réfugiés sans pouvoir bénéficier des droits fondamentaux. Un rapport de JRS Ukraine en lien avec JRS Europe révèle la situation que l’UE réserve aux réfugiés à ses frontières externes. Le rapport s’intitule «No Other Option», et s’appuie sur les témoignages des demandeurs d’asile. Il examine les relations entre l’UE et l’Ukraine, et leur impact négatif sur l’octroi de la protection dans le pays. Le rapport a été publié lors d’un point de

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Si loin, si proche

Les Journées Missionnaires du Collège Franklin, à Paris, ont eu cette année pour thème Si loin, si proche, en lien avec JRS France. Des animations dans les classes ont eu lieu, plusieurs conférences, un grand témoin en la personne de Mateo Aguire, ancien directeur régional de JRS en Afrique.

On peut trouver :

  • L’homélie de la messe de lancement, en novembre dernier, sur la lettre aux Ephésiens et l’Evangile de Jean
  • La conférence de Guilhem Causse, jésuite, sur l’intuition du JRS chez le Père Arrupe.
  • Le témoignage de Jacques Mercier, tuteur du réseau Welcome.
  • Un bref compte-rendu des animations dans les classes.

 

A l’occasion de la mise en place de ces journées, au mois de novembre, une Eucharistie a été célébrée par J.-M. Carrière, sj, directeur de JRS France. Voici le texte de l’homélie. Les lectures étaient prises en Ep 2, 11-22 et en Jn 4, 1-26.

 

La conversation entre Jésus et la Samaritaine commence par le respect. Entre le juif et l’étrangère, ce n’est pas chose facile, tant l’histoire et la différence culturelle pèsent leur poids, mais il s’agit de trouver la bonne distance, qui signifie le respect. Au bord du puits, c’est alors un échange qui se déploie : Jésus a commencé par demander à boire, laissant entendre sa propre soif, démuni, suppliant ; et la Samaritaine va elle aussi accepter de parler de la soif qui la travaille. L’échange de la conversation autorise peu à peu une reconnaissance mutuelle, que leur vie est traversée par une soif, d’eau vive. Quelque chose d’un «bien parler», d’un «parler vrai» s’est établi entre l’homme et la femme, seuls à l’heure de midi au bord du puits. La Samaritaine relance, à son tour, la conversation, sur le terrain de la religion. Jésus, alors, révèle discrètement la soif qui l’habite, ce désir de Dieu qui doit être adoré en esprit et en vérité. Toute la conversation de Jésus avec la Samaritaine s’achève sur quelques mots qui en disent long de leur rencontre : «moi, je suis celui qui te parle». Au-delà de la catégorisation ethnique, au-delà même des titres qui pourraient lui être donnés, Jésus est tout simplement celui qui parle à la Samaritaine, et à qui la Samaritaine parle.

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Une relation d’amitié et de confiance

Comment se vit l’accompagnement dans le réseau JRS Welcome ? Hélène de Tersant, bénévole de JRS Paris, a accepté de réfléchir à son expérience, et de nous en parler. Le rôle d’accompagnateur ? Un rôle d’ami, de marcheur avec… J’ai accepté d’accompagnatrice pour Welcome, après m’être posée quelques questions sur ces futures rencontres avec un demandeur d’asile. Toutefois l’accueilli ayant besoin de parler, d’avoir des contacts d’amitié ou d’accueil sans en attendre de contrepartie, cette démarche m’a rapidement paru aller

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